• Bon, je reprends un peu ce que j'ai annoncé l'autre soir mais là, je développe surtout le côté mecs pour que vous puissiez bien suivre.

    Tout d'abord, le Marin, le retour. Enfin si j'ose dire. Enervée par son attitude qui me fait bien sentir merdique et moche, je lui ai envoyé un mail pour lui dire ma façon de penser. Réponse (en gros) : "je ne t'ai pas effacé de MSN, réfléchis avant de traiter quelqu'un que tu ne connais pas de connard". Tiens, c'est pourtant pas ce que m'indique MSN, c'est con hein?

    Ensuite, mardi, je suis allée au parc avec un homme,je vous raconte, quand même. En fait, le gars a répondu à une annonce que j'avais passé y a X temps sur un site genre annonces de Libé pour retrouvé un mec que j'avais croisé dans la rue une fois. Bon, le mec, on est à peu près voisin donc on s'échange quelques mails et on décide de se voir mardi. Comme il fait beau, j'ai envie d'aller au par. Donc le jeune homme passe me chercher et nous voici partis au parc de St Cloud, très sympa ! Très bonne journée, on a discuté, on a pris le soleil, on est même allés au resto le soir puis on s'est quittés tranquillement en se promettant de remettre ça. Bon, qui c'est, en gros ? 32 ans, chef d'entreprise, il bosse dans la connexion réseau mais j'ai pas tout compris en fait... Au début, il me plaisait pas trop mais il a quand même de beaux yeux verts. Et puis il a des origines slovaques, héhéhé ! Mais bon, gros bémol, il a déjà un fils de presque 8 ans... Bon, on va l'appeler le papa. En gros, je me sens bien à l'aise avec lui et tout ça, veux-je plus ou pas? Je sais pas trop. De toute façon, j'ai plus de nouvelles depuis jeudi. Mais bon, il avait des soucis avec sa freebox et devait partir en week-end, on verra mercredi ce qu'il en est. Mais bon, de toute façon, je me sens pas en veine avec les mecs en ce moment donc bon...


    Sinon, dans la série "analysons mon esprit torturé", cette nuit, j'ai rêvé bébé et tout ça. Merde, mes hormones commenceraient à me titiller ou quoi??


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  • Je suis exténuée alors quelques points de ma vie que je développerai plus longuement ou pas

    - mardi, j'ai passé l'après-midi et la soirée avec un mec hautement sympa, il ne s'est rien passé mais je me sens bien avec lui, à suivre. Il m'a pas envoyé de mails aujourd'hui, ça m'emmerde. Na.

    - mon enquête sur le cycliste n'avance pas mais ce sourire, bordel, il me fait trop craquer

    - j'ai trouvé une futur colocataire

    - je suis claquée, claquée, claquée.

    - je crois que le petit meeticboy de mon boulot m'aime bien.

    Bref, rien de neuf, ça va bien.

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  • Ce matin, je me suis levée avec comme une envie de casser du mec. Enfin, quand je dis du mec, je parle du Marin. Non parce que là, il rentre direct dans le top 3 des pires connards de ma vie, derrière radioman et un autre.

    Hier soir, j'ai donc constaté qu'il m'avait effacée de MSN alors que vendredi, il est parti en disant : "bon, on reste en contact quoi qu'il arrive, hein!". Du con, si t'avais pas l'intention de le faire, tu n'avais qu'à rien dire. Non mais lui, il m'aurait fait boire la coupe jusqu'à la lie.

    Du coup, je suis énervée. Je me dis qu'il va pas s'en tirer comme ça et durant mon trajet d métro au boulot, je prépare mentalement mon mail. Au départ, ça donne "Dernier conseil : si tu veux pas passer pour un connard, évite de dire à une fille que tu restes en contact pour la virer de MSN dès le lendemain". Puis ça commence à partir en vrille genre : "déjà que t'es un mauvais coup, en plus, t'es un connard", j'ai même été jusqu'à envisager un : "Ok, t'es puceau mais si je t'ai dit où était mon clitoris, c'est que je comptais bien que tu le trouves".

    Bon, ok, là, je me suis dit que j'étais un peu trop classe pour taper si bas. En fait, il prend pour tous les autres. J'en ai marre qu'on me manque de respect ! Franchement, quand j'ai vu qu'il m'avait effacée de MSN, hier soir, j'étais furax. J'en ai marre de me faire marcher sur les pieds, ça peut plus durer! Donc je pense qu'il mérite le premier mail mais pas la peine de taper sur ses performances sexuelles. Je pense pas qu'il a besoin de moi pour se rendre compte qu'il a été en dessous de tout.

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  • En ce moment, mes parents sont sur Paris, ça tombe plutôt bien. Après ma déconvenue de vendredi soir, j'avais besoin de me changer les idées. D'ailleurs, pour répondre un peu à vos comms et tout ça, je reviens viteuf sur cette histoire. Je ne comprends sincèrement pas ce qu'il s'est passé, pourquoi ce mec était chaud bouillant sur le net et au téléphone et qu'en vrai, il s'est dégonflé comme un soufflé au fromage. Soit il était effectivement puceau (et techniquement, il le reste), soit il avait une copine (connard), soit il a pas assumé, soit il s'est forcé. Quoi qu'il en soit, j'ai pas super envie de lui (en) reparler. Surtout que ce connard m'a effacée de MSN ce soir. Ok, ben, son sweat, il peut se le foutre où je pense.

    Bon, sinon, je vous raconte mon week-end qui était bien sympa. Au menu (en gros) : bouffe, vin et promenades. J'avoue que je suis pas forcément une buveuse, surtout depuis qu'ex meilleur ami n'est plus dans mes parages, je me suis pas saoulée depuis l'été dernier et ça me manque pas. Donc forcément les repas apéro+un ou deux verres de vin, je sors de là, je rigole mais je sais pas pourquoi! Bref, une bonne journée, il faisait délicieusement beau en plus, j'ai bien rigolé. Bref, du baume à mon coeur maltraité (connard, je le répète !).

    Aujourd'hui, suis allée déj chez ma soeur, un bon repas, c'était sympa. Je me suis un peu énervée après mon frère qui était limite en larmes devant la vidéo de Sarkozy en 93 lors de la prise d'otage de l'école maternelle de Neuilly. Je trouve qu'exploiter un drame humain pour se donner un côté héros est tout simplement vomitif et un peu trop proche du style de Bush et du 11 septembre pour regarder ça d'un air neutre. Bref. Après le repas, le bide plein à craquer, je rentre chez moi à pied, plutôt de bonne humeur, je me la joue un peu pétasse avec mes lunettes de soleil de pouffe. Un mec en scooter s'arrête et me demande son chemin, je sais pas lui répondre. Trois mètres plus loin, c un cycliste qui veut une clope. 3 mètres plus loin, un mec en voiture qui cherche une rue que je connais pas. Oui, je travaillerai jamais à mappy. Là, le mec me rattrape : "mademoiselle, vous êtes assez jolie, je vous laisse mon numéro?". Pourquoi "assez", dis donc? Je décline, lui expliquant que j'étais prise et que de toute façon, je l'appellerai pas.

    Ah tiens, mon mojo est toujours là. Maintenant, ce serait bien qu'il m'apporte un mec pas trop mal, juste pour changer.

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  • Dans la série les hommes, c'est pas des mecs bien, j'en rajoute un à ma collection. Bon, en fait, quand je disais qu'en faisant un petit régime, j'allais retrouver confiance en moi et séduction, me suis pas trompée. Mais finalement, j'aurais peut-être dû m'abstenir. Pour l'anecdote, jeudi, je me suis fait draguer à la piscine. Bon, j'étais rhabillée et j'avais enlevé mon bonnet mais j'étais pas encore maquillée...

    Mercredi soir, alors que je traînassais sur MSN, un de mes contacts avec qui j'avais quasi jamais parlé vient me voir. On va l'appeler le Marin. Il me demande qui je suis, ça fait plaisir donc je lui réponds "quoi, tu te souviens même pas qu'on a couché ensemble?". Oui, je suis super blagueuse. Bon, comme je suis très douée, la conversation dérape rapidement (j'ai pas bien compris comment mais bon) et on finit par s'appeler pour se faire des cochonneries au tel. Oui, je suis très forte, même quand j'avais rien projeté. Le lendemain, on poursuit par mail au bureau et il me demande si on se voit le soir même ou le lendemain, je lui réponds le soir même car après, y a mes parents pour le WE (moi, pragmatique). Bon finalement, il est claqué jeudi donc on verra vendredi.

    Vendredi soir, je quitte mes parents et lui envoie un texto pour lui dire que je suis libre, si jamais. 2h30 du matin, le voilà chez moi. Ok, c'est un peu bizarre comme ambiance. On se caresse gentiment mais c'est pas trop ça, donc je comprends que si je fais rien, on est parti pour se caresser lui ma cuisse, moi son torse toute la nuit. Donc je lui fais un bisou langoureux et grimpe sur lui, on se frotte un peu et là : "tu vas bientôt jouir?". Je rappelle qu'à ce stade de l'histoire, nous sommes encore tout habillés. Je commence à mal le sentir, là. Je ne suis pas sûre qu'il existe de nana suffisamment sensible pour qu'un frotti frotta comme ça puisse faire jouir, surtout quand toutes les fringues sont là. Bon, petit à petit, j'arrive à lui faire virer ses affaires, je me débarrasse des miennes comme une grande et apparemment, ça va être chacun son tour. Donc il part à me tripoter un peu bizarrement (me demandant franchement où se situe mon clitoris... Au moins, il demande). Bon, pour les baisers, c'est terminé, j'ai eu droit à deux roulages de pelle, ça ira pour ce soir. Mais le pire, c'est que je le sens totalement absent, genre il me regarde mais j'ai l'impression qu'il est déconnecté. Bon, comme je sais que ça viendra pas de mon côté, je fais semblant car je comptais passer à autre chose mais en fait non. Une fois qu'il est parti, on reste allongé l'un à côté de l'autre, c'est vraiment tendu. Il se regarde les ongles avec passion... Donc je finis par lui dire qu'il a l'air songeur et là, en gros, il me fait "non mais on a fait une connerie, on aurait jamais dû faire ça." Ah. En gros, voilà, c'est pas son trip, il s'habille, me fait la bise et s'en va. Même pas une heure.

    Alors, autant vous dire qu'à l'heure actuelle, je me sens une merde. La petite merde de lapin. Celle qu'on voit même pas tellement elle est petite. Non parce que soit je lui plaisais pas et dans ce cas, fallait le dire dès le départ. Soit il était puceau mais ça m'étonnerait quand même car il était plutôt mignon et bien foutu. Surtout que c'est lui qui a quand même bien provoqué les trucs et tout ça, qui faisait le chaud sur Internet et au téléphone mais finalement...Enfin, voilà, moi qui avais reprise un peu de confiance en moi, là, j'ai comme la sensation de m'être pris un méga vent, à base "bon, voilà, c'est fait, c'est sans regret, on recommencera pas". J'aurais su, j'aurais pas commencé tout court.


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