• On peut pas dire que ma vie soit trépidante en ce moment mais je fais quand même un article pour pas rester sur celle négative sur les connards. Parce qu'ils n'auront pas pas ma peau ces enfoirés, non mais ! Donc pour pas rester la dessus, je vais faire un petit article en vrac histoire de dire que ça va quand même, hein. Camille en freestyle, c'est parti.

    Alors ce week-end a été plutôt calme. Vendredi, Future coloc a été dépêchée pour la mission "remontons le moral de cette pauuuuuuuuuuvre Camille", on a donc joué à Singstar chez elle. Et là, je me rends compte que ma culture musicale laisse à désirer, que je connais que les refrains des chansons donc je perds plein de points lors des couplets. Du coup, j'ai téléchargé des chansons pour m'entraîner dessus et prendre ma revanche, mouahahahah!

    Samedi, balade en ville avec Future Coloc, Soleil étant clouée au lit. Rien de bien violent, un petit Starbucks, une virée rapide dans le Marais (y avait plein de gens, j'aime pas vraiment la foule), un apéro non alcoolisé en terrasse et resto. A la table voisine s'installe un mec que je connais, un pote du Marin, amusant. Décidément, Paris n'est pas si grand que ça ou c'est moi qui connaît plein de gens ? Bref, on dine, on repart pas tard car Future Coloc sort de maladie et elle n'est pas très en forme.

    Dimanche, rien et j'en suis fière en plus. Levée tard pour faire des câlinoux à Peluche qui était ravie, matage du grand prix, glande sur le net, petite réunion sur MSN avec les deux miss sus nommées et Bouclette pour un projet commun puis soirée, je serai la plus belle : bain qui sent bon la fille, nettoyage au savon de lavande et shampoing, masque sur la tronche. Dans le bain, je lis un magazine féminin. Bref, comment faire en sorte que le dimanche ne soit pas déprimant par Camille. Oui, le dimanche est un jour où je me bichonne, na. Petite conversation avec le Parisien (il est bien bavard lui en ce moment) et dodo, détendue, parfumée, jolie.

    Bon, cette semaine, j'ai plein de choses à faire, je dois m'y tenir, ai-je décidé. Grosse actualité : on arrête de fumer avec Future coloc et Soleil. Donc je lance de suite l'opération belle et svelte (ouais, encore, je sais) pour perdre le poids que je vais prendre en arrêtant. Là, j'ai plus le choix, faut que je trouve mon aquagym top. Avec les filles, on va faire de la danse orientale aussi. Ensuite, faudrait (enfin) que je dépoussière mon rameur. Oui, je prépare mon arrêt de la clope, faut que je prévois tout pour pas que ce soit angoissant.Je vais aussi prendre des cours de langue.

    Bref, je me laisse pas abattre par ces connards. De toute façon, je suis trop bien pour pas avoir un mec à moi, aussi, un jour. En attendant, me demande si je devrais pas faire une petite période d'abstinence choisie, juste histoire de savoir aussi ce que je veux. La dernière fois que j'ai fait abstinence, comme ça, je l'ai finie avec le Marseillais. Violent comme histoire mais aujourd'hui, je ne regrette rien, alors...

    PS : je réponds à tous les comms ce soir, promis, juré !

    3 commentaires
  • Décidément, je commence à en avoir une belle collection et là, je crie stop ! Qu'est-ce qu'il s'est passé encore ? Bah, rien que du très habituel, finalement. Petit résumé

    Lundi, je vois que le British s'amuse à chauffer une nana surle forum où on est tous les deux, une nana qu'il trouvait particulièrement conne y a pas 15 jours. Alors, oui, comme d'hab, ça restera du virtuel mais bon, j'ai un peu l'impression de n'avoir été qu'un jouet pour lui et ça me saoule. Mais curieusement, depuis que j'ai dit qu'il ne m'intéressait plus, il m'a envoyé un message pour savoir comment j'allais. Trop tard, mon gars.

    Le même soir, je rencontre un gars qu'on appellera Bouille, car il a une bonne tête. On passe une bonne partie de la nuit à discuter, l'autre à faire des cochonneries. Autant vous dire que mardi, au boulot, j'étais au radar mais avec la banane. Une nuit à câliner avec plein de compliments en plus, c'est super agréable. Oui mais. Mardi soir, je me connecte sur MSN après une sieste after work nécessaire, il est pas là. Normal, il doit se reposer. Mercredi, toujours pas. J'ai un doute. Je vais sur meetic : là, il est connecté. Ok, il m'a donc bloquée sur MSN, ce connard. Là, je pète un peu les plombs, je vais chouiner dans les jupes de Soleil qui me remonte le moral comme elle peut.

    Mais bon, j'en ai assez de toujours être prise pour un jouet, surtout que Bouille m'avait fait un beau discours sur les connards et tout ça. Du flan. Si je fais la liste des mecs croisés en 2008, à part le voisin et à la limite Ptit Dop (et encore), y en a pas un pour rattraper l'autre. Ah ça, pour tirer leur coup, y a du monde mais après, faudrait voir à pas déconner non plus. Une nuit, ça te suffit pas, tu veux quoi ? Le mariage, les enfants ? Non, je veux juste une vraie relation sans prise de tête. Mais bon, si je regarde bien, dans ma vie, les relations amoureuses ont toujours été un gros point noir pour moi. A part mon histoire avec le chevalier, aucune n'a dépassé les 3 mois (quoi qu'avec Ptit Dop, je crois que si mais on n'est pas un couple donc ça compte pas). Alors, c'est quoi le problème?

    Ben, le problème, c'est que je ne le vois pas. Franchement, j'ai pas mal d'atouts de mon côté, je crois, je suis plutôt jolie, drôle, sensible, affectueuse, intelligente et cultivée. Oui, ça fait prétentieux mais faut aussi avoir conscience qu'on n'est pas une sombre merde des fois. Alors où c'est que je merde ? Quand je vois certaines connasses se trouver des mecs adorables et les traiter comme de la merde, ça me rend dingue qu'elles arrivent à être en couple avec quelqu'un de bien et pas moi. J'ai toujours été honnête, jamais infidèle, jamais garce. C'est peut-être ça aussi le problème, je suis trop gentille. Et je choisis carrément mal les mecs qui me plaisent. Mais j'en peux plus, là. A force de me prendre des petites claques, ça finit par faire mal.

    Bref, pas le moral et un peu marre de n'être qu'une vulgaire poupée qu'on jette après unsage. Je mérite mieux que ça, c'est clair, je le sais. Faudrait juste que j'apprenne à reconnaître les connards de suite, ça m'éviterait de perdre mon temps et le peu qu'il me reste de confiance en moi.

    Désolée pour ce post déprimant mais fallait que ça sorte.

    8 commentaires
  • Je vous l'ai dit, Ptitdop est revenu brièvement sur MSN l'autre soir. Bon puisqu'il m'a parlée, j'ai le droit de lui faire des propositions indécentes, ai-je décidé. Mardi soir, en attendant mon train, je lui demande si on peut se voir cette semaine mais je le sens pas trop. Des fois, je devrais un peu écouter mes intuitions. Réponse : "je sais pas, j'ai 2 filles qui me tournent autour, je suis un peu perdu". Et pour ceux qui se posent la question, je ne suis pas une des deux. Bon, après quelques textos échangés, il me dit qu'il me tient au courant. Mercredi, texto : "je suis chez moi ce soir, tu peux venir si tu veux".

    Concrètement, j'ai aucune envie de refuser. Ok, on n'est pas ensemble mais j'ai quand même envie de bien faire les choses, avoir ma dernière nuit parce que j'aime pas quand ça se finit en silence radio. Il vient me chercher au RER et là "écoute, est-ce que tu peux me rendre un service ? Faut que tu m'aides avec les 2 filles". Je trouve ça bizarre comme situation mais c'est Ptitdop, quoi. Donc il m'expose les faits. D'un côté, la militaire, névropathe cyclothimique qui dit non puis oui, puis non puis "comment t'as osé rencontrer d'autres filles et arrête de fumer!". Elle, je la dégomme en deux minutes : "tu vas avoir beaucoup de choses à faire avec tes études, t'as pas le temps de te prendre la tête". Il m'approuve. Ciao la militaire. De l'autre côté, la Chinoise qui a pour qualité première d'être chinoise et d'aimer le jazz. Il veut aller au concert avec elle et envisage aussi d'inviter un pote et là, comme une conne, je lui fais remarquer que s'il ramène un pote à leur rendez-vous, c'est comme s'il lui collait un vent à la miss. Oui, je suis trop gentille.

    Bon, à côté de ça, on passe un bon moment, il me dit qu'il est trop content de me revoir car je lui redonne la pêche, on papote pas mal de ce qui nous est arrivé durant le mois où on s'est pas vus. On fait l'amour aussi et c'est drôlement bien. Au matin, après un petit déj plus ou moins silencieux (normal, le matin, je parle pas), il me ramène à la gare, on discute un peu dans la voiture et on se quitte sur un "à bientôt, peut-être".

    Maintenant, concrètement, où j'en suis rapport à lui ? J'étais contente jeudi matin, j'ai passé une très bonne nuit avec lui. J'avais peur d'être triste mais non, ça va. Sur le coup, mardi soir, j'ai été un peu déstabilisée par cette nouvelle claque. Parce que j'aimerais comprendre pourquoi je suis jamais la fille dont on tombe amoureux, toujours celle avec qui on ne fait que prendre du bon temps. Future coloc a beau me rassurer, ça doit bien venir de moi puisque ça fait trois ans que je vis toujours la même chose. En l'occurence, je pense que j'ai mis très vite ma carapace et du coup, j'ai rien laissé passé niveau sentiments. Peut-être que c'est ça, le problème. Mais bon, j'ai pris trop de coups pour trop me laisser aller, j'ai un peu peur donc ce genre de relation, ça m'évite de me faire mal. Mais comment puis-je demander à un mec de rester dispo pour moi? Ce ne serait pas très honnête. Parce que, très égoïstement,j'espère que ça marchera pas avec sa Chinoise et quand j'ai vu que Ptitdop était sur MSN hier soir, je jubilais : il était pas au concert avec elle. Maintenant, si ça marche avec elle (ce qui m'étonnerait pas plus que ça, je porte bonheur : tous mes amants trouvent l'amour après être passé dans mes bras), ça me ferait plaisir qu'on reste en contact, même si je sais qu'en général, ça n'arrive jamais. Parce que j'ai la sensation que je passe à côté de quelqu'un de fascinant, que je le connais pas et que je rate quelque chose.

    Enfin, à suivre. Mais si cette nuit n'était pas la dernière, peut-être que je devrais tenter réellement ma chance, moi aussi. Après tout, je lui redonne la pêche, c'est pas si mal comme qualité, aussi !

    3 commentaires
  • J'avais donc promis du palpitant, du croustillant, du sensationnel, en voici en voilà. Et non, je vais pas parler de mecs parce que là, rien de neuf sous le soleil. Mais c'est pas grave.

    Revenons à ma journée d'hier. J'avais rendez-vous à 16h dans un hôtel avec un homme, genre hôtel avec plein d'étoiles où j'ai toujours l'impression de faire tache mais j'assume. Donc, j'avais rendez-vous au bar de l'hôtel mais il n'y aura pas de sexe ou de papouilles dans cette histoire. Ce mec est un bloggeur du genre hyperinfluent qui fait pas mal de podcast et veut que nous en fassions un ensemble. Pas de problème, mon gars! L'idée : on prend un journal et on le décortique de façon humoristique. Jusque là, je prenais la chose pour une expérience ludique mais je me rends compte que ça risque juste d'être énorme.

    Ce monsieur, que nous appellerons le Bloggeur (je me casse toujours pour trouver de supers pseudos), connaît plein de gens et pas juste son voisin, non, des gens des hautes sphères. Donc après qu'on ait défini le format, le titre et tout ça, il appelle quelques personnes et pas mal de gens sont intéressés par notre idée. C'est à dire que si on se démerde bien, on va se faire des sous dessus houuuuuuuuuu !

    Mais maintenant, reste le défi ultime : ma télégénie. Ben oui, si je passe pas bien à l'image, c'est mort. Et là, je sais pas. Je suis souvent photogénique mais ça dépend des jours (et des appareils aussi, c'est vrai). En gros, c'est marrant mais les jours où je me sens bien dans ma peau, je me trouve jolie en photo, les jours où ça va pas, y a pas une photo potable à récupérer. En plus, j'ai peur que mon teint blanc n'aide pas. Et puis la caméra, ça rajoute toujours un paquet de kilos. Du coup, je reprends mon régime, au passage. Oui, je sais, je dis ça toutes les semaines mais là pour de vrai ! Faut à tout prix que je me remette au sport, ça tombe bien, c'est la rentrée.

    Mais n'empêche que ça m'emmerderait grave qu'un projet qui s'annonce super excitant tombe à l'eau parce que la caméra m'aime pas! Allez tout le monde croise les doigts et souhaite que je sois photogénique. Je vais me filmer ce soir, pour voir, déjà. Hum !

    votre commentaire
  • Bon, j'aurais pu faire un article trépidant sur ma vie (j'ai vraiment de la matière) mais pour le moment, je vais vous raconter mon rêve de vendredi nuit parce qu'il m'interpelle et que j'aime bien raconter mes rêves tant ils sont tirés par les cheveux. Et ce terme s'applique particulièrement à celui-ci.

    Le début du rêve n'est pas clair, y a une histoire d'enquête policière mais je me souviens plus trop et on s'en fout. A un moment, ma mère me demande de faire un dessin qui va expliquer un truc sur ma psychologie donc je fais un immense dessin censé représenter mon avenir sentimental. Quand j'ai fini mon dessin, ma mère me félicite d'avoir trouvé la clé et m'encourage à couper mes cheveux pour symboliser cette découverte. Donc je coupe dans la masse et à un moment, je m'arrête, lui expliquant que je finirai ça chez le coiffeur.

    On regarde mon dessin, qui est plutôt beau, y a des grands arbres, des rubans mauves, des gens qui ont l'air heureux (dont mes parents), des coeurs, un gros soleil en haut plein de rayons. Moi, je trouve que ça augure bien de la suite mais ma mère n'est pas d'accord. "Ta vie sentimentale sera un échec". J'ai beau lui faire remarquer le beau soleil, elle m'écoute pas.

    Pourtant, en me réveillant, j'y vois plutôt un beau présage. Pour moi, si ce rêve veut dire autre chose que juste le fait que je suis un peu tarée, le message est clair : ma vie sentimentale sera radieuse à condition de sacrifier quelque chose (dans le rêve, les cheveux). Je me suis tirée les cartes hier soir lors de ma soirée fille avec Future Coloc et Soleil et paf! le sacrifice est apparu de suite. Maintenant, si on considère que la chevelure est un signe de féminité, est-ce que je dois en conclure que je dois renoncer à mon état de séduction permanent? L'autre soir, en allant à mon rendez-vous avec le British, alors que j'étais persuadée que c'était dans la poche (bon, c'est bien fait pour ma gueule, aussi, petite leçon de vie), je pensais à tous les hommes auxquels je devrais renoncer et j'étais pas sûre sûre. Ca me fait souvent ça quand je suis à l'aube d'une nouvelle relation amoureuse. En effet, je suis fidèle et ça, je refuse de céder aux tentations. Donc être en couple, c'est un mec et un seul.

    Bon, c'est pas la première fois que j'ai ce doute mais en général, une fois dans les bras de celui que j'ai élu chéri, je pense plus aux autres!

    Tiens, à ce propos, PtitDop est revenu me parler ce soir mais j'ai fini par un joli vent : après de longues minutes de silence de sa part, je lui demande ce qu'il fait, "je parle à une copine". Pif, dans ma gueule !

    3 commentaires