• Depuis quelques jours, j'avais des doutes, il a fallu que je vérifie. Je replante le décor. Mercredi matin, entretien avec celui qui ressemble vachement au Marseillais mais la version dans 10 ans. L'entretien se passe et à un moment, il me fait : "vous avez travaillé là? Avec telle personne?" Oui et oui. Apparemment, je ne suis pas la seule.

     

    Fin de l'entretien, je repars. Deux jours après, j'y repense. Je me souviens, à l'époque où j'y étais, y avait effectivement un pigiste qui avait le même prénom, je l'avais même sur MSN, il adorait mes pseudos (normal, ils sont rigolos). Je me souviens même de l'avoir vu une fois à une réunion. Je réfléchis : putain, je me souviens pas de sa tête, je colle automatiquement la tête du recruteur, je dois me tromper.

     

    Hier soir, toujours en plein doute, je décide de vérifier, je tape son nom dans le moteur de recherche du webzine. ET PUTAIN!! Si, c'était lui, c'était bien lui et je n'ai pas percuté! Mais qu'est-ce que je suis conne! Au lieu de me dire "ohlala, il est séduisant quand même", j'aurais dû penser "mais je l'ai déjà vu quelque part et je dis pas ça parce qu'il ressemble à mon ex". Non parce que je suis sûre que ça aurait joué en ma faveur le côté "mais nous avons déjà travaillé ensemble". Ah, je suis déçue! Enfin, en attendant, je lui ai envoyé un mail la semaine dernière en rapport à mon entretien et il m'a pas répondu encore, grrrrr! 


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  • Ce matin, j'ai (encore) eu un entretien, je vais vous le raconter, bien entendu. Lever à 8h30, je me prépare, je me pomponne, me bijoute, me parfume. 9h30, je suis devant l'entreprise, j'ai mon entretien à 10h donc j'ai le temps d'aller boire un café en bouquinant un peu. Je me rends compte que j'ai oublié de mettre ma combinaison rouge à lèvres/gloss. C'est pas dramatique en soit mais j'aurais préféré l'avoir quand même, j'aime quand tous les détails sont soignés.

    9h50, je suis dans la rue, je cherche l'immeuble, je le trouve, je monte deux étages à pieds. A noter : si je suis prise, ne pas me casser une jambe. Je traverse une petite terrasse, je sonne. Là, un mec m'ouvre. Bordel, c'est le sosie du Marseillais avec dix ans de plus. Je suis un poil troublée mais tout va bien, je me présente en souriant. Il me laisse sur un canapé, un mec en costard arrive et se présente : c'est le boss. Il a de faux airs de Bernard Laporte, lui, mais en plus jeune et plus fin. Un autre jeune homme passe. Miam, c'est un nid à beaux gosses ici ou quoi?

    M. Boss me propose un café que j'accepte (merde, c'est du hyophilisé) et nous partons tous trois (avec le sosie du Marseillais) dans le bureau du chef pour un entretien d'une heure. Globalement, je suis contente de ma prestation. Le boulot est énorme, dans tous les sens du terme : des choses très variées, de l'écrit, de l'audiovisuel, gérer une équipe de pigistes, réaliser des interviews, des dossiers... Je veux ce taff, je veux ce taff, je le veuuuuuuuuuuuuux!

    Maintenant, je suis déjà passée en entretien : sur 100 CV, ils n'en ont retenu que 10 (je pensais pas que ma candidature était aussi béton) et il garderont 2 à 4 personnes pour l'épreuve finale : ils nous appellent et on a deux heures pour écrire un article sur un sujet donné. Intense. Mais ça me fait pas peur, je suis la meilleure. Le seul truc qui me fait peur, c'est que j'ai la réponse soit en fin de semaine prochaine (ce serait un beau cadeau d'anniversaire), soit le 15 avril! Bon, ben, en attendant, je vais candidater.

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  • Evidemment, c'était trop beau pour être vrai. Un truc qui irait bien dans ma vie, ça se saurait.

     

    Round 2 de mon entretien ce matin. J'ai rendez-vous à 11h, je pars à 10h : une heure, ça suffira. Sauf que le train a déjà dix minutes de retard, truc qui n'arrive JA-MAIS. Ou alors des fois le week-end mais jamais en semaine! Du coup, je suis toute décalée. Je sors du train pour prendre le RER et là, mon pied droit décide de tracer sa propre route, je me tords la cheville et manque de me casser la figure, je me rattrape je ne sais comment. Mais j'ai très très mal à la cheville.

     

    J'attends le RER 5 mn (une éternité), je constate en attendant que mon talon droit est coupé en deux et donc que je marche sur un moignon plus ou moins rond et que sur l'asphalte trempée ou l'espèce de revêtement merdique de la station RER, ça glisse. C'est pour ça que j'arrêtais pas de glisser hier. Bon, je prends le RER. Arrivée à Vincennes, je sors du RER et je pars pas dans la bonne direction. J'arrive à un arrêt de bus : le 318. Putain, je veux le 115, moi, comment ça se fait? J'arrête une dame : je suis pas du tout où je dois aller. Au bout de 10 mn, j'arrive ENFIN au bon arrêt mais le prochain bus est annoncé dans 10 mn, il est 10h55. J'ai une grosse envie de pleurer. J'appelle pour prévenir de mon retard.

     

    A l'arrivée, j'ai 20 mn de retard. L'entretien en lui-même se passe bien, je me laisse pas démonter, j'explique les soucis que j'ai eus, la dame compatit "non mais y a des travaux en ce moment alors le bus...". Je reste souriante, convainquante. Je repars au bout de presque une heure d'entretien, on est 3 en finale, j'aurai la réponse ce soir ou demain. Mais vraiment, ce retard de 20 mn, c'est un tel handicap que j'ai à peu près aucun espoir. Je suis en colère contre la RATP qui n'est pas foutue de respecter ses horaires, contre moi qui me perds partout où je vais. J'avais prévu 15 mn de marge, je suis arrivée avec 20 mn de retard. J'en peux plus, je suis vraiment désespérée. J'ai donné le change pendant l'entretien mais une fois rentrée chez moi, j'ai pleuré. Je crois vraiment que je vais quitter Paris, que je vais me réorienter mais là, c'est plus possible. Deux ans que j'ai une loose pas possible , c'est plus supportable.


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  • Bon, je me dois de vous raconter mon entretien, vous ayant abandonné dans un suspense haletant : a-t-elle tenu le coup jusqu'à son entretien? S'est-elle endormie comme une buse dans le RER, la bave perlant au coin des lèvres? Et bien, trève de suspense, la réponse est non.

    Alors, petit résumé : train+RER+métro, tout se goupille bien. Je sors du métro, je dois trouver une avenue et remonter tout droit. Bon, je trouve l'avenue et je remonte. Putain, c'est long. Il pleut. C'est moche comme ville. J'arrive à la bonne adresse : 11h15, j'ai rendez-vous à 11h30, gloups! Je me rends devant le bureau de l'entreprise, je frappe, j'essaie d'entrer et... c'est fermé. Merde de merde. 11h25, je commence à sérieusement flipper, à imaginer le pire. Mais voilà le monsieur.

    L'entretien démarre, ça se passe pas trop mal. Ca se passe d'ailleurs tellement bien que j'ai mon ticket pour l'étape suivante, la dernière. Si je plais à la dame que je vois demain, je suis prise.

    Alors pourquoi j'ai décidé que je serai prise:

    - Parce que le nom de la place où y a l'entreprise, c'est le même nom que l'avenue de l'agence de comm où j'ai passé un entretien fin janvier

    - Parce que le domaine de l'entreprise, c'est le même que celui de la boîte où j'ai presque décroché le job y a un mois

    - Parce qu'aujourd'hui, c'est l'annif de ma maman

    - Parce que ça fait 4 semaines que j'ai vu la voyante et voilà (quoi que, à vérifier...). Bon, elle avait parlé de voyage et là, à priori, à part ceux en RER, y en a pas.

    - Parce que j'avais passé une semaine de vacances dans cette ville moche y a 7 ans

    - Parce que le mec de ce matin, il m'a dit que j'étais bien placée, qu'on a parlé politique (enfin, un peu) et rugby et qu'il m'a carrément à la bonne.

    - Parce qu'un job à 3/5e payé un temps plein, c'est le rêve

    Maintenant, si vous n'avez rien à faire, vous avez le droit de payer pour moi. Maintenant, je vais dormir car j'ai pas fermé l'oeil depuis hier.

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  • J'ai un entretien dans un peu plus de deux heures à l'autre bout de Paris et cette nuit, j'ai dormi... zéro minutes. Je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit. Je commence à avoir mal à la tête de fatigue mais je peux plus dormir, je dois commencer à me préparer. Quand je dis que j'ai pas dormi, j'exagère pas, j'ai bien vu les heures passer, pas moyen de fermer l'oeil.

     

    Dans deux heures, je passe un entretien après une nuit blanche...

     

    Mal barrée, vous dites? 


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